Révélations Choc : La France derrière une Tentative de Coup d’État au Sahel

Par Joël TCHASSOM pour le Sillon Panafricain

I. Introduction:

L’Alliance pour le Sahel (AES), fer de lance de la stabilité régionale face à la menace terroriste, est aujourd’hui la cible d’un complot d’une ampleur sans précédent. Des informations confidentielles révèlent une tentative orchestrée de déstabilisation, visant à affaiblir voire à renverser les gouvernements de plusieurs pays membres. Ce plan machiavélique, dont les ramifications s’étendent à travers le continent, met en lumière les enjeux géopolitiques considérables qui se jouent dans la région du Sahel.

II. Le Complot Dévoilé:

Au Mali, des politiciens corrompus, instrumentalisés par des puissances étrangères, ont été chargés d’exacerber les tensions politiques et de miner la légitimité des autorités. Au Niger, des groupes terroristes, renforcés en hommes et en matériel, ont été activés pour déstabiliser le pays depuis le bassin du lac Tchad. Même Boko Haram a été contacté. Au Burkina Faso, une mutinerie savamment orchestrée, financée via des plateformes de transfert d’argent comme Orange Money et Wave depuis la Côte d’Ivoire, a été déjouée grâce à la vigilance des services de renseignement. Ces actions coordonnées visent à semer le chaos et à saper la confiance des populations dans leurs gouvernements.

III. Les Acteurs Ombreux:

Derrière ces actions, se profile l’ombre de la France, dont les manœuvres visant à déstabiliser l’AES sont de plus en plus évidentes. Le retrait stratégique des troupes françaises du Tchad et la fermeture de leur base en Côte d’Ivoire ne sont que des exemples de la stratégie de division employée. Des mercenaires, financés par des réseaux opaques, sont impliqués dans ces opérations, agissant comme des agents du chaos. La manipulation de l’opinion publique via une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux complète ce plan diabolique.

IV. L’Échec du Complot au Burkina Faso:

La tentative de mutinerie au Burkina Faso, prévue pour le 22 décembre, a été un échec retentissant. Le drone Kaaziba, déployé pour éliminer les premiers instigateurs, a été incapable d’atteindre ses cibles. La détermination des forces de sécurité burkinabè, ainsi que le manque de courage des « moutons de sacrifice, ont permis de déjouer ce complot. Cet échec, loin de décourager les conspirateurs, pourrait les pousser à intensifier leurs efforts.

V. La Réponse de l’AES:

Face à cette menace, l’AES a réagi avec fermeté. Les services de renseignement des pays membres, en étroite coordination, ont mis en alerte une force spéciale. La demande de la France de prolonger la suspension des pays de l’AES de la CEDEAO pendant six mois confirme les intentions malveillantes de Paris. Ces six mois seront une période cruciale, où la vigilance et la communication seront des armes essentielles pour contrer la propagande ennemie.

VI. Conclusion:

La bataille pour la stabilité de l’AES est loin d’être terminée. La vigilance doit rester de mise. Mais cet échec cuisant des forces néocoloniales démontre la résilience de l’AES. La chute de la CEDEAO, institution impérialiste, et de certains de ses dirigeants corrompus est inévitable. De cette lutte naîtra une AES forte, unie et résiliente. Nous sommes partout, et nous veillerons à ce que la vérité triomphe !